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Jeudi 21 juillet 2021 : Parcours et photos

Ce jeudi… je vous propose de prendre la direction la vallée de la Moselle puis de la vallée de l’Esch et de nouveau la vallée de la Moselle. Soit 82 km pour seulement 430 m de dénivelé :

  • Le Pont Fleuri, piste Pompey, Liverdun, piste Villey-st-Etienne (rester sur la piste et remonter à gauche après le village), D191 puis à gauche D10a, Avrainville, Manoncourt-en-Woëvre, D10, Tremblecourt à droite, D907 puis à gauche D10, Villers-en-Haye à gauche, Griscourt à gauche puis à droite, D107, Jezainville à l’église à droite, Blénod-lès-Pont-à-Mousson à droite, D657 à gauche Écluse de Blénod, Piste Dieulouard, Piste vers Autreville et D40, Millery, piste, Custines, piste Meurthe, D40D à droite, Les Brasseries, D40 à gauche, piste Meurthe, le Pont Fleuri.
  • Une variante 86 km : …, Piste Dieulouard, Le Pont de Mons, Ville-au-Val, D10 puis à droite D44, Millery à gauche, …

Le lien vers le parcours :

2021-07-22 CRN Gr2 | Vélo de route |

  • Quelques photos :

Sortie du 31 Janvier 2021

Amis cyclos
Pour ce dernier dimanche de janvier 17 valeureux pédaleurs (cyclos randos et quelques cyclistes bien connus des VVV) s’étaient donnés rendez-vous à la porte Désilles.Dans les différentes conversations d’avant départ l’une d’elle faisait la part belle au temps : allait-il pleuvoir ?
La réponse ne se fit pas attendre très longtemps. dès le Champ le Boeuf, un crachin breton auquel auquel on aurait ajouté une pincée de « froideur » en supplément nous retrouva… Il ne nous lâchera plus jusqu’au-delà de Toul.
Nous avions choisi d’essayer de rouler collectivement jusqu’à Toul. C’était un vœux pieux… les conditions désagréables de ce début de parcours nous ont rapidement fait passer du collectif à l’éparpillement, certains rebroussant chemin ou reprenant la piste vers Gondreville pour rentrer au plus vite.
Dans ces conditions c’est sans doute le groupe 1 qui aura le mieux résisté collectivement aux assauts de ces mauvaises conditions.En ce qui concerne le groupe 2, il semble qu’à Toul il ne restait plus que Reynald et moi… d’autres participants auraient échappé à notre attention ? J’avoue, je me suis piégé en suivant le groupe 1 jusqu’à Toul. La constitution des 2 groupes avec un départ différé de quelques minutes me semble être la meilleure solution.
Le reste du parcours s’est fait sans encombre, nous sommes rentrés transis mais contents de notre sortie… Reynald jurant quand même qu’on ne l’y reprendrait plus…
Amicalement,
JPP

Presque parfaite (28 juin)

Parfois, nous vivons une sortie parfaite ; parfois, nous ne faisons que la frôler : une météo très favorable, sans la grosse chaleur des derniers jours, une belle affluence : plus de 20 présents, dont quelques amis VVV, quelques inconnus, dont un duathlète (Jean Thomas ?) et un triathlète de haut niveau (Fabien Carpentier), sans oublier l’ex Rando devenu Lillois (Hervé Blanchard, sur son vieux destrier à cale-pieds) ni la charmante néo-rando Cécile. Du beau monde, quoi ! Et un bel enthousiasme collectif. Tous s’élancent, la jambe légère et le coeur content.


Hélas, à peine partis, on perd Jean-Claude, qui dément d’abord avoir crevé, avant de l’admettre, faut croire, et qu’on s’aperçoive trop tard qu’il n’est plus là. Pire, on ne comprendra que bien plus loin qu’on a aussi perdu Gégé, Jean-Marie B., Marco, Michel V. et Amico (qui, lui, était en retard au rv et qui ne sera pas mécontent de trouver des compagnons de route). On perdra aussi le Lillois (à quel moment ?) et l’autre Jean-Marie (dit « Pansement »), mais de sa part ce sera volontaire.


Il faudra une seconde crevaison, près de Royaumaix, pour qu’un contact s’établisse avec l’arrière, et qu’on finisse par retrouver les trois plus vaillants des attardés (Marco, Amico et Michaelo – pour la rime), qui ont eu la bonne idée de couper vers Tremblecourt pour venir à notre rencontre. Manoeuvre réussie.Dire que le train fut vif n’est pas mentir, un bon 28 de moyenne, pour 105 bornes et un D + de 1000 m, ça me rappelle ma jeunesse … merci les gars, et plus encore merci à Super-Bianchi, mon Valeureux Aérien Électrique ! Il faut dire que le jour où les athlètes et les gamins (les non-retraités) unissent leurs forces, il ne fait pas bon rouler sur le mulet. En revanche, quel pied que de dévorer la côte de Bratte en dépassant la vitesse autorisée !


Ce qui a rendu la sortie sous toute proche de la perfection, ce sont aussi les deux modifications apportées au programme prévu : éviter la route de la Petite Suisse, fraîchement recouverte de gravillons, ainsi que la route forestière des Rais (de Frouard au parc de Haye), dont l’état se dégrade d’année en année. Suggestion : en cette période très favorable à l’essor du vélo, convaincre nos édiles d’en faire une belle voie cyclable … on peut toujours rêver.
Faisons un pari plus réaliste (encore que) : la prochaine fois, on se donne un vrai de vrai vélo-balai et on réussit la sortie parfaite !

Chanson de la solidarité (22 mars)

Fait moche, fait froid, on reste chez soi 
Pas de regrets, y’avait pas l’choix,
On se console en se disant
Le mauvais temps c’est épatant !

En attendant, faut l’ répéter 
Pour ceux qui s’raient tout d’même tentés
De remonter sur leur vélo,
Alors qu’on rame dans l’même bateau :


Pas de contacts, pas d’accident
Telle est la loi du confinement.
Faut pas surcharger les Urgences
Pour les fautifs pas d’indulgence.

Putain de virus, compte pas sur moi
Pour ajouter au désarroi,
Faut résister à ce bourreau :
Ni profiteurs ni collabos !

Le mal qui répand la terreur
Peut tout ébranler fors l’honneur.

Reynald (au 6e jour du confinement)

Une belle virée (15 mars)

Sortir en groupe ou s’abstenir ? Ce matin, ils sont quinze (puis seize avec Franck) à préférer le grand air au confinement. Mais spontanément, lors du RV, ils se placent à distance respectueuse (voir la photo). Ils éviteront ensuite de cracher, ou de balancer à tout-va leurs sécrétions nasales. Ils n’échangeront pas leurs bidons, ni ne partageront des barres de céréales. Bref, ils auront veillé réciproquement à ne pas se mettre en danger. À priori, ils n’ont pas pris plus de risques qu’en allant faire leurs courses, ou en allant voter ; et même plutôt moins.

Ceci dit, étant par ailleurs l’organisateur des sorties VVV, je vais rester à l’écoute des conseils prodigués par les spécialistes de la santé. En espérant que chacun d’entre nous ne soit pas contraint prochainement de rouler seul.

La bonne nouvelle du jour, c’est que le virus n’empêche pas le printemps de venir à son heure : arbres en fleurs, soleil, douceur. Un pur régal. Un parcours agréable, familier, mais plus lacustre qu’à l’ordinaire : grandes étendues d’eau du côté de Port-sur-Seille, à deux doigts de devenir Port-sous-Seille, tant la rivière prend là ses aises.

Le contrat de départ sera respecté : un seul groupe jusqu’à Atton. Ensuite, mon VUP m’invite à veiller sur ceux de l’arrière, avant et après la pause de Rouves. Ce faisant, à moindre vitesse, on goûte plus encore les prémices du printemps. Mais je l’avoue, je cède à la tentation dans la côte de Morey : celle de mettre le turbo, et de savourer la sensation de l’avaler à grande vitesse. Désolé pour Gaby et quelques autres scotchés sur la route, alors que je progressais à 32 km/h … Disons que je me suis offert une brève entorse à ma ligne de conduite : abriter, protéger du vent mes petits camarades. En évitant de projeter des gouttelettes fatales.

La période est pleine d’incertitudes, mais se maintenir en bonne santé grâce au sport ne semble pas une mauvaise chose. Faire des virées à vélo ne virera pas le connard virus : à tout le moins, elles devraient permettre de patienter jusqu’au retour de jours meilleurs.
Reynald :
Je me permets de souhaiter en votre nom à tous une convalescence pas trop pénible à notre ami Jean-Claude Huret, victime d’une bien mauvaise chute à VTT.

Vive le VUP ! (01/03)

Le VUP : késako ?

C’est bien simple : un engin dont profite son conducteur mais aussi la communauté. Une machine qui permet d’entrer dans le vent tout en abritant les petits copains. Bref, un vélo d’utilité publique : un VUP !

Par les jours de grand vent, le VAE Bianchi se voit promu à la dignité de VUP, pour peu que son conducteur se soucie des non-assistés. En côte, ce n’est pas facile de trouver le tempo qui convienne à tous, sur le plat ce n’est pas très sorcier. Je suis d’avis que le VUP qu’est le VAE devrait être remboursé par la Sécu, ou être subventionné par la mairie, faute d’être financé par le club.
Ce matin, nous étions 13 puis 12 à affronter les bourrasques, Gégé s’étant contenté d’une petite escapade, en prélude à son défi 78 (marche et VTT pour fêter sportivement ses 78 balais – respect). Comme j’étais le seul à ne pas disposer d’un vélo allégé, il a bien fallu que je compense mon handicap en faisant profiter le peloton de mon surcroît de watts. Opération gagnant-gagnant, puisque plaisir partagé est plaisir augmenté. 
Le VUP est une autre façon de pratiquer le vélo, en même temps qu’un plaisir de septuagénaire. Il ne permet pas de rajeunir, faut pas se leurrer, mais le fait est qu’il allège le poids des ans. Ceci étant acquis, et pour ne pas devenir lourd, j’éviterai désormais d’y revenir. D’autant que le vent finira bien par faiblir et que le recours au VUP se fera moins pressant. Reynald 

Vive le vent ! (23/02)

Une certaine prudence a prévalu : une dizaine de Randos seulement au RV, car il y avait une menace de flotte dans l’air. Mais c’était une menace en l’air, et pas une goutte ne chut sur nos casques et nos gambettes. Un peu de soleil nous fut même accordé en fin de matinée. Bénis nous fûmes.

Au départ, on comptait aussi une autre dizaine de pédalomaniaques, faite de Kostos de la Porte Désilles. Et pour une fois, il y avait même parmi eux deux damoiselles bien cyclantes, la très fameuse Elisabeth et la plus novice Cécile. Celle-ci m’a confirmé qu’elle allait prendre sous peu sa licence, de même que Denis Grosdidier, également présent : bienvenue au club !

La séparation entre les deux dizaines s’est effectuée dès Custines. 
Il faut dire que le parcours du jour nous emmenait droit dans le vent, et que ça peut faire peur, le vent qui souffle fort. Sauf à chevaucher une machine qu’aucune rafale n’impressionne … Ah, quel délice que d’entrer dans le vent comme dans du beurre ! Et quel plaisir que d’abriter les copains en se frisant la moustache, les watts additionnels aidant. Les membres du team Bianchi (Marcel et moi) ont donc pris leur pied, en murmurant un air d’autrefois, « Oh Vive le vent, vive le vent d’hiver / Qui s’en va sifflant, soufflant / Dans les grands sapins verts » …
La balade nous a permis aussi de revoir Francis, qui revenait du chaud soleil de la Casamance, où l’accueillait l’Africain des Baronnies (qui fut le pionnier du Bianchi) ;  et de même on a revu Marc H., encore un peu en délicatesse avec son cou : pour la douleur il est servi, mais il n’est pas dit que le servi cale … Quant au Patou des Corbières, il a crevé dès le début, et jamais ne s’en est remis : tout à fait crevé il termina. Pour un familier de la tramontane, c’est un comble.

Allez, vive le vent, vive la bise et la burle, vive le vent d’autan, vive la traverse et la galerne !